Retour à l'index
Recherche
Partenaires
Inscription
Courriel
Qui sommes-nous?
Conseillers
Favoris
 

 

Pour bien des gens, le choix d'un revêtement de toiture se limite aux différents types et coloris de bardeaux d'asphalte. Pourtant, bien d'autres matériaux tout aussi valabres peuvent être envisagés.

En effet, on peut aussi opter :

  • pour des bareaux de sciage ou des bareaux de fentes en bois (cèdre ou pin);
  • pour des rêvetements métalliques (acier, inoxydable, cuivre, acier, galvanisé, aluminium)
    lesquel constituent un choix attrayant pour rénover puisque, dans la plutart des cas, il est possible de les poser par-dessus les revêtements existants;
  • pour des tuiles (argile, béton, fibre de ciment, polytester,plastiques renforcé de fibre de verre, asphalte ondulé);
  • ou encore pour des dalles de pierre aussi belles que durables.

S'il importe de choisir soigneusement les matériaux en accord notamment avec le style et l'environnement de la résidence, il est par ailleurs essentiel d'en confier la posse à des experts. Un entrepreneur professionnel et compétent sera même en mesure de vous offrir les protections que procure un plan de garantie en rénovation résidentielle.

L'Association provinciale des constructeurs d'habitation du Québec- APCHQ-gère des plans de garantie en rénovation résidentielle depuis bientôt quinze ans.

Depuis 1986, 6 000 personnes ont effectué pour près de 500 millions de dollars de contrats de rénovations protégés par ces plans. Et en 1999, l'APCHQ lançait un tout nouveau plan spécialisé répondant spécifiquement
aux besoins des travaux de rénovation de toiture :
la Garantie rénovation spécialisée de l'APCHQ-toiture.

Si des pépins devraient suvenir en cours de réalisation de votre projet de rénovation, la Garantie rénovation spécialisée de l'APCHQ-toiture vous procure les protections suivantes :

  • le remboursement des accomptes jusqu'à concurrence de 25 % du montant du contract (limite maximal de 5000$);
  • le parachèvement des travaux prévus au contrat jusqu'à concurrence de 25 % du montant (limite maximal de 5000$);
  • la réparation des malfaçons existantes dénoncées par écrit au moment de la réception des travaux;
  • la réparation des malfaçons cachées se manifestant et dénoncées par écrit dans les cinq ans suivant la signature du contrat.